Os dejo una canción de Laura Cahen que particularmente me encanta.
À quoi ça sert l'amour
À quoi ça sert l'amour
On raconte toujours
des histoires insensées
À quoi ça sert d’aimer ?
L'amour ne s'explique pas
C'est une chose comme ça
Qui vient on ne sait d'où
Et vous prend tout à coup.
Moi, j'ai entendu dire
Que l'amour fait souffrir
Que l'amour fait pleurer
À quoi ça sert d’aimer ?
L'amour ça sert à quoi ?
À nous donner d'la joie
Avec des larmes aux yeux
C'est triste et merveilleux.
Pourtant on dit souvent
L'amour c'est décevant
Qu'il y en a un sur deux
Qui n'est jamais heureux
Même quand on l'a perdu
L'amour qu'on a connu
Vous laisse un goût de miel
L'amour c'est éternel !
Tout ça c'est très joli
Mais quand tout est fini
Qu'il ne vous reste rien
Qu'un immense chagrin...
Tout ce qui maintenant
Te semble déchirant
Demain sera pour toi
Un souvenir de joie.
En somme si j'ai compris
Sans amour dans la vie,
Sans se joies ses chagrins
On a vécu pour rien
|
Mais oui, regarde-nous
On y croit chaque fois
On y croira toujours
Ça sert à ça l'amour.
Mais toi, t'es le dernier
Mais toi, t'es le premier
Avant toi y'avait rien
Avec toi je suis bien
C'est toi que je voulais
C'est toi qu'il me fallait
Toi que j'aimerai toujours
Ça sert à ça, l'amour.
À quoi ça sert l'amour
À quoi ça sert l'amour
À quoi ça sert l'amour
À quoi ça sert d'aimer
À quoi ça sert l'amour
À quoi ça sert l'amour
À quoi ça sert l'amour
À quoi ça sert d'aimer
L'amour ne s'explique pas
C'est une chose comme ça
On y croira toujours
Ça sert à ça, l'amour.
|
Un Cœur Comme Le Mien
Comment veux-tu qu'il fasse
Tenu d'être efficace
Ce pauvre cour à peine né
Veut ressentir juste et donner
Comment faire pour rêver
Quand on est façonné
Bombardé de faux héros
Usé de trop de mots
Oh un cœur comme le mien
Simple d'instinct au matin
A désappris les abris, les chemins
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Plus j'avance dans la vie
Plus je cours plus je dévie
Je superpose, je multiplie
Etça y est, je t'oublie
Alors je danse, je ris, quand on me presse
Je ne cherche plus sans répit, la sagesse
Je cède à ce monde rigide quelques rides,
Quelques traces
Que j'efface
Oh un cœur comme le mien
Simple d'instinct au matin
A désappris les abris, les chemins
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Il vague, il vague, il vague partout
Il tangue un peu mais reste debout
Poésie inscrite à la main
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Tiens, tiens, tiens
Oh un cœur comme le mien
Simple d'instinct au matin
A désappris les abris, les chemins
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Il vague, il vague, il vague partout
Il tangue un peu mais reste debout
Poésie inscrite à la main
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Ce cœur baudelairien, na nana, nana
Puis une nuit dans le ciel vague et lointain
Enfin
Brillant de mille feux
Ce cœur immense
Que je veux
Tiens, tiens, tiens
Tiens, tiens, tiens
Un cœur humain
Tiens, tiens, tiens
Que j'aime bien
Tiens, tiens, tiens
Un copain
Tiens, tiens, tiens
Un cœur singulier
Tiens, tiens, tiens
Qui veut donner
Oh c'est toi, toi, toi
Et le tien
Tenu d'être efficace
Ce pauvre cour à peine né
Veut ressentir juste et donner
Comment faire pour rêver
Quand on est façonné
Bombardé de faux héros
Usé de trop de mots
Oh un cœur comme le mien
Simple d'instinct au matin
A désappris les abris, les chemins
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Plus j'avance dans la vie
Plus je cours plus je dévie
Je superpose, je multiplie
Etça y est, je t'oublie
Alors je danse, je ris, quand on me presse
Je ne cherche plus sans répit, la sagesse
Je cède à ce monde rigide quelques rides,
Quelques traces
Que j'efface
Oh un cœur comme le mien
Simple d'instinct au matin
A désappris les abris, les chemins
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Il vague, il vague, il vague partout
Il tangue un peu mais reste debout
Poésie inscrite à la main
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Tiens, tiens, tiens
Oh un cœur comme le mien
Simple d'instinct au matin
A désappris les abris, les chemins
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Il vague, il vague, il vague partout
Il tangue un peu mais reste debout
Poésie inscrite à la main
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Un cœur comme le mien
Il lui faut le tien
Ce cœur baudelairien, na nana, nana
Puis une nuit dans le ciel vague et lointain
Enfin
Brillant de mille feux
Ce cœur immense
Que je veux
Tiens, tiens, tiens
Tiens, tiens, tiens
Un cœur humain
Tiens, tiens, tiens
Que j'aime bien
Tiens, tiens, tiens
Un copain
Tiens, tiens, tiens
Un cœur singulier
Tiens, tiens, tiens
Qui veut donner
Oh c'est toi, toi, toi
Et le tien
Sur mes chiers d'écolier Sur la mouse des nuages
Sur toutes les pages lues Sur les sueurs de l'orage
sur le sable sur la neige Sur la puie épaisse et fade
J'écris ton nom J'écris ton nom
Sur toutes les page lues Sur la lampe qui s'allume
Sur toutes les pages blanches Sur la lampe qui s'éteint
Pierre sang papier ou cendre Sur mes maisons réunies
J'écris ton nom J'écris ton nom
Sur les images dorées Sur toute chair accordée
Sur les armes des guerriers Sur le front de mes amis
sur la couronne des rois Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom J'écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur mes refuges détruits
Sur les nids sur les genêts Sur mes phares écroulés
Sur l'écho de mon enfance Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom J'écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur l'absence sans désir
Sur le pain blanc des journées Sur la solitude nue
Sur les saisons fiancées Sur les marches de la mort
J'écris ton nom J'écris ton nom
Sur tous mes chiffons d'azur Sur la santé revenue
Sur l'étang soleil moisi Sur le risque disparu
Sur le lac lune vivante Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom J'écris ton nom
Sur les champs sur l'horizon Et par le pouvoir d'un mot
Sur les ailes des oiseaux Je recommence ma vie
Et sur le moulin des ombres Je suis né pour te connaître
J'écris ton nom Pour te nommer
Sur chaque bouffée d'aurore Liberté
Sur la mer sur les bateaux Liberté
Sur la montagne démente Liberté
J'écris ton nom Liberté
On écrit sur les murs le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs à l 'encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait dire
Partout autour de nous,
Y'a des signes d'espoir dans les regards
Donnons leurs écrits car dans la nuit
Tout s'efface même leur trace
On écrit sur les murs le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs à l 'encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait dire
On écrit sur les murs la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur les murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur le monde endormi
Des mots seulement gravés pour ne pas oublier pour tout changer
Mélangeons demain dans un refrain nos visages, métissages
On écrit sur les murs le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs à l 'encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait dire
On écrit sur les murs la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur les murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur le monde endormi
On écrit sur les murs le nom de ceux qu'on aime
Des messages pour les jours à venir
On écrit sur les murs à l 'encre de nos veines
On dessine tout ce que l'on voudrait dire
On écrit sur les murs la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffiti
On écrit sur les murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur le monde endormi (x2)
VIVE LE VENT
Sur le long chemin
Tout blanc de neige blanche
Un vieux monsieur s'avance
Avec sa canne dans la main
Et tout là-haut le vent
Qui siffle dans les branches
Lui souffle la romance
Qu'il chantait petit enfant :
Vive le vent, vive le vent
Vive le vent d'hiver
Qui s'en va sifflant, soufflant
Dans les grands sapins verts...
Oh ! Vive le temps, vive le temps
Vive le temps d'hiver
Boule de neige et jour de l'an
Et bonne année grand-mère...
Joyeux, joyeux Noël
Aux mille bougies
Quand chantent vers le ciel
Les cloches de la nuit,
Oh ! Vive le vent, vive le vent
Vive le vent d'hiver
Qui rapporte aux vieux enfants
Leurs souvenirs d'hier...
Et le vieux monsieur
Descend vers le village,
C'est l'heure où tout est sage
Et l'ombre danse au coin du feu
Mais dans chaque maison
Il flotte un air de fête
Partout la table est prête
Et l'on entend la même chanson :
{au Refrain}
Boule de neige et jour de l'an
Et bonne année grand-mère !
Vive le vent d'hiver !
Dernière Danse
Oh ma douce souffrance,
Pourquoi s’acharner tu recommences.
Je ne suis qu'un être sans importance,
Sans lui je suis un peu paro,
Je déambule seule dans le métro.
Une dernière danse,
Pour oublier ma peine immense.
Je veux m’enfuir, que tout recommence,
Oh, ma douce souffrance.
Je remue le ciel, le jour, la nuit.
Je danse avec le vent, la pluie.
Un peu d’amour, un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse.
Et dans le bruit, je cours et j’ai peur.
Est-ce mon tour ?
Vient la douleur...
Dans tout Paris, je m’abandonne
Et je m’envole, vole, vole, vole, vole.
Que d’espérance...
Sur ce chemin en ton absence.
J’ai beau trimer, sans toi ma vie n’est qu’un décor qui brille, vide de sens.
Je remue le ciel, le jour, la nuit.
Je danse avec le vent, la pluie.
Un peu d’amour, un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse.
Et dans le bruit, je cours et j’ai peur
Est-ce mon tour ?
Vient la douleur...
Dans tout Paris, je m’abandonne
Et je m’envole, vole, vole, vole, vole.
Dans cette douce souffrance,
Dont j’ai payé toutes les offenses,
Écoute comme mon cœur est immense.
Je suis une enfant du monde.
Je remue le ciel, le jour, la nuit.
Je danse avec le vent, la pluie.
Un peu d’amour, un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse.
Et dans le bruit, je cours et j’ai peur.
Est-ce mon tour ?
Vient la douleur...
Dans tout Paris, je m’abandonne
Et je m’envole, vole, vole, vole, vole.
TOURNE DANS LE VIDE
Tourner dans le vide
Il était brun, le teint basané
Le regard timide, les mains tout abîmées
Il taillait la pierre, fils d’ouvrier
Il en était fier, mais pourquoi vous riez ?
Non ne le jugez pas
Vous qui ne connaissez pas
Les vertiges et le labeur
Vous êtes faussement heureux, vous troquez vos valeurs
Lui, il est tout mon monde et bien plus que
ça
Seule je crie son nom quand vient le désarroi
Et puis tout s’effondre, quand il n’est plus là
J’aimerais tellement lui dire mais je n’ose pas
Lui qui me fait
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
Dans le vide, vide, vide
Tourner, tourner dans le vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
(Tourner dans le vide…)
Qui peut bien me dire, ce qui est arrivé?
Depuis qu’il est parti, je n’ai pu me relever
Ce n’est plus qu’un
souvenir, une larme du passé
Coincée dans mes yeux, qui ne veut plus s’en aller
Oh, non ne riez pas
Vous qui ne connaissez pas
Les vertiges et la douleur
Ils sont superficiels, ils ignorent tout du
cœur
Lui, c’était tout mon monde, et
bien plus que ça
J’espère
le revoir, là-bas
dans l’au-delà
Aidez-moi, tout s’effondre puisqu’il n’est plus là
Sais-tu mon bel amour, mon beau soldat
Que tu me fais
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, tu me fais tourner
Dans le vide, vide, vide
Tourner, tourner dans le vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
(Tourner dans le vide)
Il me fait tourner dans le vide
Tourner dans le vide, tourner dans le vide
Il me fait tourner dans le vide
Tourner dans le vide, tourner dans le vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
Tourner
dans le vide
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